Culture et Loisirs

Publié le jeudi 23 mai 2019

Les différents supports à la promenade

Le plan interactif

Équipé(e) d’un smartphone, géolocalisez votre position et les œuvres decazevilloises.

Afin de rendre plus agréable votre expérience, une cartographie interactive a également été réalisée (Ouvrir en mode plein écran).


Le plan papier

Le plan papier est disponible pour vous aider à vous orienter :

  • dans les 3 bureaux d’accueil de l’Office du Tourisme et du Thermalisme
  • à la Communauté de communes
  • à la médiathèque de Decazeville

 

 

Le plan à imprimer

 

Si vous préférez imprimer la carte avant de venir :

Carte Parcours permanent

Si vous ne trouvez pas une oeuvre, demandez aux passants decazevillois, ils se feront un plaisir de vous l’indiquer !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les oeuvres à Decazeville

► POINT A : Ardif 

sur le mur du bar « L’Escale », place Decazes, face au musée de géologie Pierre Vetter – Lien Gps : 44.55471880963193, 2.257969800709368

Grâce à ses tracés à la précision déconcertante, Ardif donne vie à des créations, mi-animales, mi-mécaniques : possibles hybridations entre architecture/machine et nature.

Peut-être l’artiste souhaite-il rappeler le combat et les luttes que plusieurs générations de mineurs ou d’ouvriers ont engagées ici.

Crédit photo : Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/a_r_d_i_f/?hl=fr


► POINT B

Fresque de Al Sticking

sur le mur faisant face au chevalement (action de médiation)

Travail de résidence antre l’artiste et les élèves de Bac Pro chaudronnerie du lycée « La Découverte ».

Cette création collective avec le lycée « La Découverte » représente la temporalité de Decazeville, lecture allant de la droite vers la gauche. Tout d’abord, les représentations de galerie de mine et attributs des mineurs, suivi par les cristaux de roches que l’on trouvé dans le sol puis le portrait de M. Deltort (qui a fait la dernière coulée d’acier le 31 mars 1987). Vient ensuite le cheminement des billettes (tubes d’acier) de différentes couleurs pour rappeler, l’état de refroidissement du fer, les toitures des usines présentent sur le bassin et la chute et fin de l’activité sidérurgique. En dernière position le renouveau avec le lac de la Découverte, les fleurs et le verdissement du site.

Plus : https://www.instagram.com/alsticking/?hl=fr

Fresque de Hera

sur le mur mobile près du chevalement, site de la Découverte – Lien Gps : 44.5524578818014, 2.262952047096896

Les métaphores et représentations abstraites font références à l’écologie, aux guerres et à la tolérance. Des thèmes abordés à la fois de façon douce et sombre, laissant toujours planer une ambiance énigmatique.
Des visages et des corps surdimensionnés ou des petits corps chétifs, accentuent la représentation d’un rapport très proche entre les hommes et la nature. De courts textes accompagnent également les peintures, éclairant notre façon de les déchiffrer ou questionnant notre réflexion.

Crédit photo : Joël Born

Plus : https://www.instagram.com/hera_herakut/?hl=fr

Fresque de Gabi Gimenez

sur le mur mobile près du chevalement, site de la Découverte – Lien Gps : 44.5524578818014, 2.262952047096896

Gabi Jimenez, peintre franco-espagnol primé dont les œuvres sont classées comme “art engagé”, car il défend une cause tout en dénonçant les problèmes du monde.
Fresque participative réalisée avec l’association Accès Logement évoquant les migrations hautes en couleurs des gens du voyage.


► POINT C : Jo Di Bona

sur le mur voisin de l’ancien garage Peugeot à Fontvergnes, Avenue Paul Ramadier

Son style “Pop Graffiti” associe les collages, le mélange de couleurs et de mouvements pour créer des visages empreints de poésie, d’émotions et de joie de vivre.

Avec son deuxième gorille, c’est un clin d’œil à sa première œuvre. Où que l’on soit, on a l’impression que le regard du gorille nous suit.

Attention : les collages sont moins résistants face aux intempéries. Mais le street art n’est-il pas, par définition, éphémère et impermanent ?

Crédit photo : Alex Gallosi


► POINT D : Sifat

sur le mur du parking du Centre Technique Intercommunal, ancien bâtiment EDF – Lien Gps : 44.55601222999417, 2.2644660054047754

Passionnée par les écritures, elle revisite calligraphies, alphabets, motifs, signes ou idéogrammes en s’appropriant leurs formes pour créer son propre langage.

A Decazeville, elle utilise des couleurs douces du turquoise, de l’orange, qui ne sont pas forcément ses couleurs habituelles, dans le souci d’apporter de la couleur et de la joie. Elle représente son lettrage mêlé aux courbes des paysages et à celle de la Découverte.

 

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/________sifat________/?hl=fr


► POINT E1 : Jo Di Bona

sur le mur près des Soufflantes

Son style “Pop Graffiti” associe les collages, le mélange de couleurs et de mouvements pour créer des visages empreints de poésie, d’émotions et de joie de vivre.

Ce premier gorille est réalisé à la sauvette et en toute illégalité. Il est réalisé à partir d’un fond de couleur et d’une affiche imprimée en noir et blanc, collée puis déchirée laissant apparaitre les couleurs.

Attention : les collages sont moins résistants face aux intempéries. Mais le street art n’est-il pas, par définition, éphémère et impermanent ?


► Zone du Centre : MurMurs fait le Mur 

Zone du Centre – Lien Gps : 44.55626078143213, 2.261221674005181

Avant d’arriver au point D, 6 paires de murs en béton réalisé et financé par ONDULIA, trônent sur la plus grande parcelle de la zone du Centre. Ces 12 murs seront visibles sur la Zone du Centre de Decazeville jusqu’à fin juin 2020. Ils partiront ensuite chez leur propriétaire Ondulia, en Ariège. Séduit par leur talent, l’entreprise a invité 10 artistes des 2 premières sessions du festival ainsi qu’un nouveau nommé Zenoy à disséminer leur magie artistique sur ces 12 murs de 6 mètres de long pour 3.40 de haut.

https://www.decazeville-communaute.fr/actualites/murmurs-fait-le-mur-sur-la-zone-du-centre/


► POINT E2 : Kouka

sur le mur de soutènement de la Zone du Centre – Lien Gps : 44.555916849324774, 2.2600307912755273

Les Guerriers Bantus, vêtus dans son plus simple appareil, sont là pour nous rappeler d’où nous venons et qui nous sommes, abstraction faite de nos attributs sociaux et culturels.

Ici Kouka représente les 3 grâces, sujets d’art représentés dans des dizaines de peintures ou de sculptures, depuis l’Antiquité. Une ode à la beauté, au charme et à la créativité. Situé au milieu d’une friche industrielle, l’artiste révèle la beauté du site et son histoire interculturelle.  Ce mur agit comme une protection, un repère, une sorte de vigie et de mémoire qui incarne les traces de l’humanité… Ces 3 femmes pourraient symboliser l’engagement de celles qui ont fait l’histoire de Decazeville.

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/kouka_ntadi/?hl=fr


► POINT F1 : Doudou’style et Stoul

sur le mur du parking de la Maison de Santé, Zone du centre

Alors que Stoul évolue au travers d’une géométrie semi-abstraite très personnelle mélant lignes horizontales, verticales et diagonales, Doudou’Style est influencée par la BD et les mangas.

Leur inspiration née du « château chelou des contes de fées » juste au dessus, nous propose une confrontation originale du dragon géométrique de Stoul avec le pandragon féérique de Doudou.

Crédit photo : Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/stoulpeintresse/?hl=fr

et https://www.instagram.com/doudoustyleart/?hl=fr


► POINT F2 : MonkeyBird

sur le pignon Ouest de l’Immeuble des Casernes (Laminoir), avenue du 10 août – Lien Gps : 44.557392207327986, 2.257148313493365

Pochoiristes reconnus pour la précision de leurs traits et la finesse de la découpe, ils sont spécialisés dans les représentations d’architecture où l’Oiseau et le Singe cohabitent.

La signification de l’œuvre intitulée « le Pécheur » : au centre, une figure féminine tient un spectre avec à chaque bout 2 tours. A gauche, c’est le temple de la relation avec l’extérieur, avec les autres, à droite c’est le temple de la relation intérieur, la connaissance de soi même. Le message : d’abord se construire à l’intérieur de soi avant de construire la relation aux autres.

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/monkeybirdcrew/?hl=fr


► POINT F3 : MTO

sur la façade Sud de l’Immeuble Orange (à côté de l’Hôtel de Ville), avenue du 10 août – Lien Gps : 44.556662568712454, 2.257125758926659

Une œuvre de MTO peut parfois nous faire croire au collage d’une photo géante tant la qualité des détails, des contrastes et des traits est précise et expressive.

Son caps qui se fracasse sur le mur de l’immeuble, annonce l’arrivée du street-art à Decazeville et l’aube d’une nouvelle ère.

Plus : https://www.instagram.com/mtograff/?hl=fr


► POINT G : LPVDA

sur la façade du Cinéma La Strada – Lien Gps : 44.559305021385825, 2.256822702251855

Issu du monde du graffiti, cet autodidacte a troqué ses pinceaux contre une meuleuse et une ponceuse avec lesquelles il produit de merveilleuses fresques sur bois vieilli.

En ponçant des visages et des chats, LPVDA a souhaité mettre en avant la relation humain/animal apaisée et sereine : un espace où chacun offre et puise dans cette source de joie et de bonheur. Le prisme triangulaire central, inspiré par cette relation, vient diffuser les ondes de paix.

Crédit photo : Joël Born

Plus : https://www.instagram.com/aka_lpvda_artiste/?hl=fr


► POINT H : Bishop Parigo

sur la Maison de la Petite Enfance La Capirole, Place Cabrol – Lien Gps : 44.55897028855644, 2.2547984543835033

Avec son monde coloré où l’insouciance est maître, Bishop fait de ses petits oiseaux sa marque de fabrique, incitant ses admirateurs à redécouvrir leur âme d’enfant.

L’accumulation d’oiseaux, animal symbole de paix, tous les uns à côté des autres, comme une grande famille, tous différents mais tous unis. Voilà le message de l’artiste.

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/bishopparigo/?hl=fr


► POINT I : Astro

sur les 3 façades de la Tour du Parc, rue du Maréchal Foch (près de la Gendarmerie) – Lien Gps : 44.559956956268124, 2.2548697826427198

Astro joue avec les perspectives et les lignes de fuite. Il trompe l’œil du spectateur en déformant la planéité des façades, créant ainsi des illusions d’optique impressionnantes !

Son œuvre est un véritable totem dans le parcours street art decazevillois. En bord de la RD840, il appelle le visiteur à venir découvrir les autres œuvres et devient le symbole du renouveau de Decazeville. Selon streep.fr, il est dans le TOP5 des œuvres les plus impressionnantes.

une fresque aux trois façades emplies de couleur et de virtuosité.

Crédit photo : Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/astro_urbanart/?hl=fr


► POINT J1 : Kinmx

sur le mur de la maison des Syndicats, Esplanade Jean Jaurès – Lien Gps : 44.560605378876254, 2.2539867875468778

Imprégnée de ses origines mexicaines Kinmx met les femmes à l’honneur dans ses œuvres douces et lyriques d’une vitalité riche et d’une exubérance sud-américaine.

De la bouche du serpent, Quetzalcóatl, dieu de la connaissance, du savoir et protecteur de l’humanité, naquit la déesse protectrice de la ville et de la nature.

Crédit photo : Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/kinmx/?hl=fr


► POINT J2 : Iljin

sur le mur de la maison des Syndicats, Esplanade Jean Jaurès – Lien Gps : 44.560605378876254, 2.2539867875468778

Son style est reconnaissable à sa palette de couleurs bleuâtres et à ses élégantes figures féminines, une combinaison entre l’abstrait et le portrait avec une touche de mélancolie…

L’œuvre du bas représente une jeune femme libre et indépendante qui fuit une situation qu’elle ne veut plus.
L’ œuvre du haut, en lien avec le bâtiment syndical aux nombreuses luttes sociales, véhicule des valeurs de protection, de co-construction, de confiance et de mixité sociale.

Crédit photo : Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/iljin_art/?hl=fr


► POINT K : Stéphane Opéra

sur le mur du CMPP, rue Jean Moulin – Lien Gps : 44.56131513046422, 2.2514411052608945

Influencées par le graphisme contemporain, ses peintures dévoilent une approche géométrique au travers de compositions graphiques abstraites, incisives et colorées.

Stéphane Opéra considère l’homme comme une machine, une sorte d’horloge dont le mécanisme peut se dérégler. L’homme vient au CMPP pour se soigner, se rééquilibrer.

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/operagraphiks/?hl=fr


► POINT L : Jokolor

sur le mur à l’arrière de l’école Jean Moulin, rue Jean Moulin (action de médiation)

Fresque collaborative spectaculaire avec la participation de plus de 150 parents et enfants.

Outre l’esthétique de cet arbre, le bouleau symbolise le renouveau. C’est une essence primaire qui pousse et apparait sur des terrains nus, suite à un incendie ou à une transformation d’un lieu, des sols… Cet arbre est bien connu car très présent dans l’ancien bassin minier, autour de Decazeville.

Crédit photo : Jokolor

Plus : https://www.instagram.com/jokolor/?hl=fr


► POINT M : Seb Toussaint

sur le mur de la piscine, Avenue Léon Blum – Lien Gps : 44.56315721389341, 2.2421279422409603

Il répand ses fresques colorées à travers le globe avec son projet “Share the Word”. Son travail est spontané, avec souvent une palette de couleurs très vives, apposées sur des formes géométriques.

Parti à la rencontre des migrants accueillis sur le bassin de Decazeville, réfugiés politiques, économiques ou climatique, l’artiste leur donne un mot à choisir, dans la lignée de son projet « Share  The Word » . Ainsi, Anjoua, réfugié Malien propose le mot Paix, parfait résumé de l’idéal que tous sont venus chercher ici. Ce mot est donc écrit sur ce mur de la piscine avec des couleurs vives à pastel, avec le recul le mot ressort.

Crédit photo : Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/sebtoussaint/?hl=fr


► POINT N : Jo Di Bona

sur le mur de l’ancienne station service, Avenue Victor Hugo

Son style “Pop Graffiti” associe les collages, le mélange de couleurs et de mouvements pour créer des visages empreints de poésie, d’émotions et de joie de vivre.

Attention : les collages sont moins résistants face aux intempéries. Mais le street art n’est-il pas, par définition, éphémère et impermanent ?

Crédit photo : Alex Gallosi

Attention : les collages sont moins résistants face aux intempéries. Mais le street art n’est-il pas, par définition, impermanent ?


► POINT O1 : Romain Froquet

sur le mur Nord du dépôt d’Aveyron Habitat, 31 rue du 4 septembre – Lien Gps : 44.56358305458832, 2.250932488829939

Le travail de la ligne l’inspire. Pour lui, la ligne connecte les gens, les idées, les émotions. Une ligne c’est comme dévider une bobine de fil, chercher une racine, suivre une frontière, remonter le temps, comprendre le mouvement. La ligne peut aussi s’apparenter à des arbres et des fleurs d’où son penchant pour peindre un monde coloré tendant vers le végétal. C’est sa manière de se relier aux personnes, de s’ouvrir à l’extérieur, de dégager son énergie, tout en interrogeant le public.

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/romainfroquet/?hl=fr

► POINT O2 : LadyM

sur le mur Ouest du dépôt d’Aveyron Habitat, à l’angle de la rue du 4 septembre – Lien Gps : 44.56358305458832, 2.250932488829939

Attirée par les mondes parallèles qui nous entourent, Lady M s’inspire de la notion d’espace, de notre rapport à l’univers, de ces éléments terrestres, aquatiques ou aériens.

Son œuvre s’appelle « L’envol », c’est le reflet de son été émotionnel, sa relation spirituelle. Ici elle a trouvé beaucoup de liberté : dans le mouvement, dans la création, dans l’organisation de sa journée, se sentant chez elle, sans aucune contrainte.

Crédit photo : Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/lady_m_art/?hl=fr


► POINT P : Alber

sur le mur des ateliers municipaux, Avenue Edmond Sautet – Lien Gps : 44.56572056054332, 2.25080671968058

Sa marque de fabrique ? Des visages qui interrogent et s’interrogent. Une palette de couleurs froides – bleu, violet – qui se mêlent à des tonalités chaudes – orange, jaune. De ces contrastes chaud-froid naît un sentiment énigmatique accentué par des à-plats de couleurs circulaires.
Eléments centraux de ses oeuvres, les regards, ces fenêtres sur un monde intérieur, sur l’intime et le non-dit, varient parfois entre défiance ou affirmation hautaine d’une supériorité sur l’autre.

Crédit photo -Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/alberoner/?hl=fr


► POINT R : Vinie Graffiti

sur le pignon Est de l’Immeuble Trépalou, Avenue Léon Jouhaux – Lien Gps : 44.56666049195275, 2.2508472572484397

Pin-up des temps modernes, sa créature est un savant mélange d’inspiration hip-hop pour le look et pop pour les couleurs flamboyantes qu’elle arbore.

Ici, son personnage représente une enfant aux grands yeux verts qui inspire douceur et gentillesse. Accoudée au balcon, sa chevelure composée de feuilles et de fleurs rappelle le reverdissement du territoire et l’arrière plan du bâtiment.

Crédit photo -Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/viniegraffiti/?hl=fr


► POINT R : Hopare

sur le pignon Ouest du Gymnase du Lycée La Découverte, Avenue Léo Lagrange – Lien Gps : 44.56816068311569, 2.2530289538721573

Ses portraits sont particulièrement touchants grâce à cette technique de fins “rubans de soie” délimités par des “fils de nylon” noir proposant un maximum de détails.

Deux portraits essentiellement noirs et blanc, avec seulement quelques notes de couleurs qui viennent rehausser le tout. Ces couleurs sont des fleurs, qui viennent agrémenter les visages. Seuls les traits noirs, qui donnent un aspect de vitrail, sont réalisés à la bombe.

Crédit photo -Alex Gallosi

Plus : https://www.instagram.com/hopare1/?hl=fr


 

Les oeuvres à Cransac-les-Thermes

 

► Point W : LPVDA

à l’arrière de la Station Thermale – Lien Gps : 44.52944575779293, 2.2756416002738287

Issu du monde du graffiti, l’artiste Lpvda a troqué ses sprays pour une ponceuse avec laquelle il produit de merveilleuses fresques sur bois. Il est l’inventeur du « Street Poncing » dont il est l’ultime représentant dans le monde.

« Renaissance »

Ici, la volonté de l’artiste était d’exprimer la dualité entre le modernisme et le passé. Le passé est, sur cette murale, symbolisé par la robe et la coiffe traditionnelle aveyronnaise, bousculé par la métamorphose du côté contemporain de l’art urbain, qui, depuis 2019, fait partie intégrante du paysage rural de notre territoire. Le dessin réalisé à la bombe par l’enfant représenté sur cette façade, est le fruit de notre rencontre avec les élèves CE1, CE2, CM1 et CM2 de l’école élémentaire Emile Zola de Cransac. Par le dessin, on a exploré leurs perceptions de leur village. Ensemble, leurs visions (montagne qui fume, volcan, eau, elfe-abeille, papillons…) ont été représentées et réinterprétés par l’artiste sur le mur.

Cette fresque nommée “RENAISSANCE” a été réalisée à l’occasion du double anniversaire des Thermes de Cransac, soit celui des 60 ans du renouveau du thermalisme à Cransac et celui des 20 ans du bâtiment actuel. Projet organisé et financé par la station thermale de Cransac et la Chaine Thermale du Soleil.

Plus : https://www.instagram.com/aka_lpvda_artiste/?hl=fr


► Point X : iwok & rafat

mur du Tennis –  avenue Jean Moulin – Lien Gps : 44.52572369384263, 2.2773017034381944

Par un mouvement descendant ascendant, le spray magique de ce duo de graffeurs aveyronnais métamorphose un mur noirci par le temps en une scène naturaliste enchanteresse. La mésange bleue et le chardonneret élégant s’y rencontrent dans un décor verdoyant… La fresque “Révélation” nous incite à apporter une attention particulière à notre environnement et à la préservation des espèces.

By Vin’s FilmMaker

Plus : https://www.instagram.com/iwok_1/?hl=fr

et https://www.instagram.com/the_rafat_one/?hl=fr


► Point Y : L7 Matrix

face à l’Office de Tourisme – Place Jean Jaurès – Lien Gps : 44.5257840344839, 2.281915914104349

L7 Matrix est un artiste Brésilien qui réalise une collection impressionnante d’oiseaux peints à travers le monde entier. Même s’il s’aventure vers d’autres styles, les oiseaux restent sa plus grande source d’inspiration. L7M crée des formes géométriques fortes, audacieuses et frappantes. Il combine des éléments géométriques, des énigmes colorées et stylisées avec des détails très réalistes. Il capture à la fois l’élégance et le mouvement gracieux. C’est précisément le mélange de la simplicité des couleurs et la géométrie libre qui réveille certaines contradictions et même des sentiments parfois inconfortables pour le spectateur. L’univers artistique de L7M regorge de toutes les émotions humaines connues et du fouillis de la ville, mêlant la rugosité à l’élégance. La douceur et le réalisme de ses oiseaux tranchent avec ces 1er plan colorés et abstraits, afin d’éveiller pour le spectateur de l’intérêt et de l’empathie pour l’environnement…

La performance artistique réalisée sur ce mur fut un réel émerveillement pour ceux qui ont eu la chance de voir l’artiste peindre.

Plus : https://www.instagram.com/l7matrix/?hl=fr


► Point Z : Ratur

immeuble près du plan d’eau de Passelaygues – Lien Gps : 44.52545117253388, 2.2864398294284505

Puisant son inspiration chez les peintres classiques, et dans le graffiti, Ratur excelle dans les détails hyperréalistes du visage ou des mains et fixe avec grâce les textures des feuillages et des chairs.

Entre onirisme et réalisme, Daphné, la nymphe, émerge des reflets de l’eau et se transforme en laurier pour échapper aux avances du dieu Apollon. Le style figuratif décrit ici la fragilité de l’humain face à une nature massacrée, mais en perpétuelle renaissance grâce à cette symbiose entre l’humain et le végétal. Une union singulière de l’énergie et de la douceur…

Plus : https://www.instagram.com/raturone/?hl=fr

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► Point Z1 : OAKOAK

2 Rue des Issards – Lien Gps : 44.524712554678345, 2.2817607701236873

Les créations de cet artiste pochoiriste français consistent à jouer avec l’environnement urbain et ses imperfections. Il laisse sa trace partout où il voyage lors de ses multiples invitations à créer : France, Angleterre, Italie, Chine, Thaïlande, Belgique, Hawaï, Etats Unis… Il est aussi exposé dans les plus prestigieuses galeries mondiales aux cotés des plus grands. OakOak pense ses œuvres selon leur environnement, la rue n’étant pas seulement une inspiration pour lui mais avant tout un support, dont il aime en détourner les éléments, les installations et le mobilier urbain… Rien ne lui échappe ! Oak Oak livre ainsi des œuvres mixées d’humour et de poésie urbaine, l’humour et l’attention aux habitants étant ses premiers et principaux leitmotivs.

La création cransacoise, a été conçue avec l’idée de créer une fresque remplie d’amour ! De style Trompe l’œil, elle est composée de 63 éléments, traduisant symboliquement le changement d’identité de la ville de Cransac passant de Cransac-les-Mines en 1962 à Cransac-les-Thermes en 1963. Le « Fil rouge » est une métaphore qui désigne un « fil conducteur », l’idée directrice, le lien, le point de repère. Vous apprécierez également la signature aux pochoirs reprenant le lien avec sa création.

Un grand merci à cet artiste dont l’humilité et la générosité est grande ! Un très beau moment de partage avec en plus, un intérêt commun pour notre territoire et pour les villes minières et sidérurgiques…

 

 

On vous laisse découvrir la fresque en vraie !

ici c’est juste la signature

 

 

 

Plus :  https://www.instagram.com/oakoak_street_art/?hl=fr

 

 

Les œuvres à Aubin

► Anna Conda

Aubin – Allée du Musée – Face à la Médiathèque d’Aubin – Lien Gps : 44.52680352533059, 2.24583864256482

Son univers s’inspire des symboles et éléments de différentes cultures et traditions, issus de ses expériences de vie aux différents coins du globe. Des forêts de la Sibérie, aux jungles amazoniennes en passant par les montagnes et les paysages européens, l’Artiste nous permet de nous sentir à chaque fois touché et concerné pas ses sujets.

Ici, la fresque d’Anna nous révèle une scène de nature ou la plupart des éléments majeurs de la vie figurent. Un indispensable et une sensibilité voulue pour une conscience toujours plus tournée vers ce qui nous est essentiel, la vie, la protection de l’environnement, la nature !

 

Plus : https://www.instagram.com/anna.conda.art/?hl=fr

 


► Bault

Aubin – Le Gua – La Poste – Avenue François Cogné – Lien Gps : 44.52788951084123, 2.266154950093844

Bault est un artiste talentueux et incontournable de la scène Street Art française. D’origine aveyronnaise (Flavin), il vit et travaille à Paris. Son intérêt se porte très tôt pour les arts premiers, les arts naïfs et l’art Brut. Sa peinture est une abondance d’éléments graphique, un travail qui est un laboratoire, une expérimentation sans cesse renouvelée, une profusion de couleurs, très marquée par une ligne très stylisée. Une pure originalité !!

Ici l’artiste vous propose un inventaire de ses curiosités, des petits objets, des personnages incongrus, des herbiers, des silex, les statues menhirs, le carbonifère, les vestiges et grands ensembles qui font l’identité de la ville d’Aubin. Dans sa conception, l’artiste a peint un fond bleu sur lequel il a mélangé plusieurs peintures acryliques pour obtenir des couleurs de remplissage vives. Les contours ont été réalisés en spray avec le geste bien caractéristique qui lui est propre.

 

 

   

Plus : https://www.instagram.com/bault_/?hl=fr

 


► Braga Last1

Aubin – 21 Rue Brassat – Lien Gps : 44.528371574605984, 2.247244680177215

Connu et reconnu pour ses performances artistiques peintes dans de grandes capitales internationales, l’artiste marseillais Braga teste le regard de ses spectateurs en créant des œuvres qui varient entre un monde imagé dénué de mots et un environnement imaginaire perméable.

Ici, Braga utilise un style proche des bandes dessinée mis en contraste avec des éléments graphiques mélangés à du réalisme et du trompe l’œil. Une technique qui n’appartient qu’à de rares artistes capables d’agir sur des murs aussi complexes.

Pourquoi le raton laveur déterre un livre de Victor Hugo ? En référence à l’histoire s’étend déroulée en 1869 sur le plateau des forges ayant inspiré Victor Hugo pour l’écriture de son poème « l’Ode à la misère ». Vous avez sous vos yeux, une anamorphose, Mural créer, uniquement à base de spray. A vous de trouver le bon point de vue pour la photo…

 

Plus : https://www.instagram.com/braga_last_one/?hl=fr

 


► Sonia O

 Aubin – gare d’Aubin, Place de la gare – Lien Gps : 44.527388123304995, 2.239423232041124

Artiste locale née à Aubin, elle aime peindre des portraits de Femme, leur fragilité d’apparence, leur force intérieure, leur beauté… Son souhait, retranscrire des émotions, principalement à travers un regard, une attitude, une expression…

Ici, cette peinture est réalisée sur un mur esthétiquement intéressant. L’artiste laisse entrevoir une perception que l’on peut interpréter de différentes manières, s’agit-il d’un départ, d’un abandon, ou au contraire d’une joie contrôlée, d’une arrivée heureuse ou bien d’une sobriété assumée ? A vous de voir en fonction de se que vous êtes, rien n’est figé.

 

Plus : https://www.instagram.com/sonia_o_/?hl=fr


► WD Wild Drawing

Aubin – Ateliers municipaux – Plateau des Forges : Lien Gps : 44.52600495976747, 2.266447891884406

Considéré comme l’un des artistes les plus talentueux de sa génération et de la scène artistique contemporaine mondiale, cet artiste indonésien se concentre principalement à la réalisation d’œuvres d’art à grande échelle. Les pièces exceptionnelles de WD semblent se fondre délicieusement dans le paysage, comme si elles avaient toujours été là. Il intègre l’environnement à ses créations, qui deviennent immédiatement reconnaissables. Son courant artistique : l’Anamorphose 3D mêlée à l’hyperréalisme.

Il a peint cette fresque avec une perche, des petits rouleaux (roller brush) et de la peinture acrylique. La fresque a été nommée « Duologue » et l’artiste a écrit : « Parfois dans la communication on a plus besoin du sentiment que des mots, car le plus important c’est d’écouter ce qui n’est pas dit »…

Vous apprécierez le soin des détails, l’incrustation des reliefs, des drapés, la neutralité des visages et le trompe l’œil avec la constitution d’une ouverture vers le ciel… 247 m2 de performance sur un mur initialement rouge !

Plus : https://www.instagram.com/wd_wilddrawing/?hl=fr

 

A Viviez

► BOM.K

Bar restaurant hôtel « O’Zinc » – A côté de la Mairie : Lien Gps : 44.555457, 2.217759

Dans un dégradé monochrome assez habituel chez Bom.K on retrouve ici un dessin avec un degré extraordinaire de précision, digne du travail des maîtres classiques. Rien d’étonnant pour ce grand artiste qui à lui seul a traversé les différentes époques du graffiti pour devenir mentore de plusieurs générations d’artistes…Exposé dans les plus grandes galeries sont travail est reconnu à travers le monde autant dans le graffiti que dans le post graffiti et l’art contemporain.

« Rémission »

Avec ce sens aigu de la composition, allié à une maîtrise parfaite de la bombe, le travail de Bom.K impressionne par son côté « juste ». Précis dans la forme, expressif dans la scène elle-même, ce tableau figuratif laisse entrevoir la confrontation de l’humain et de la nature ou à l’inverse la main qui donne vie et qui s’unie à la nature. A l’examen attentif du dessin, les branches traversant les doigts ou la paume des mains sont légèrement teintées de couleurs, tout comme la racine et le fouillis de branches.

Une véritable œuvre d’art, à photographier plutôt très tôt le matin ou quand le mur est à l’ombre…

 

Plus : https://www.instagram.com/bom.k_dmv/?hl=fr

 

A Livinhac Le Haut

► Ememem.flacking

Partie basse de Livinhac Le Haut, ruelle chemin de St Jacques et plus – Lien Gps : 44.588115, 2.231249 

Ememem créer des mosaïques dans les nids de poules, les trottoirs abîmés et autres aspérités et les répare avec des morceaux de céramiques, de ,verres, de miroirs… L’artiste créer ainsi des mosaïques plus ou moins grandes en fonction de la taille initiale du trou. Il est l’inventeur autoproclamé d’un savoir faire unique, qu’il a baptisée « flacking », flaque en français. Pour ses œuvres, Ememem puise l’inspiration dans l’environnement autour du lieu choisi et des matériaux dont il dispose, uniquement issus de la récupération.

Ememem ne fait quasiment aucune auto-promotion de son travail et de son image et pourtant sa célébrité dépasse largement les frontières. Le résultat tant humain que artistique et d’une très grande hauteur.

Vous aviez l’habitude de regarder en l’air pour admirer du Street Art ? A Livinhac, il vous faudra désormais aussi ouvrir l’œil par terre.

« C’est un acte poétique et une manière de rendre beau ce qui est cassé », comme une sorte de « commémoration des petits accidents de la rue ». Ce céramiste urbain laisse toujours une trace de poésie, qui sublime la rue et le bitume  et c’est bien le cas ici aussi.

A vous de venir découvrir les très belles ruelles de cette partie de Livinhac et ses 6 flackings. Des pures merveilles composées in situ avec du carrelage récupéré et donné gracieusement par les commerces « Regourd Décoration » de Decazeville et « Pierre et carrelage » de Rodez. Merci à eux !

Création réalisée en collaboration avec la Mairie de Livinhac Le Haut.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus : https://www.instagram.com/ememem.flacking/

 

► Nadège Dauvergne

Place du Quatorze Juin – Mairie de Livinhac – Lien Gps : 44.59124529958821

Nadège Dauvergne est née en 1973, à Ouagadougou, puis a grandi en banlieue parisienne. Après un cursus artistique en arts graphiques puis aux beaux-arts, elle se pose en Picardie, dans l’Oise où elle vit…En bonne héritière d’une histoire de l’image, elle joue avec les courants artistiques et les époques pour mieux s’inscrire dans la sienne. À coup d’associations d’idées et de détournements elle brasse les images et les contextes. Et pour servir ses récits, elle cherche le pas de côté pour mieux nous apporter sa vision et replacer les peintres classiques dans notre présent.

La technique qu’elle développe ici à Livinhac, est issu des peintres impressionniste du 19ème siècle, elle l’abordera par une succession de hachures colorées – Pointillisme –  qui finiront par se combiner dans l’œil du spectateur, proposant plusieurs niveaux de lecture. De loin, une couleur vibrante et lumineuse s’observe, le sujet est révélé. De près le détail de la palette colomètrique se dévoile, chaque couleur et chaque maille apparaisse. On comprend immédiatement le degré de maîtrise qu’elle met dans cette pratique, exigeante jusqu’aux derniers traits.

Le Mural que vous voyez est issu d’un fragment du tableau de Emile Munier intitulé : la jeune fille au panier de cerises – Il exprime le temps de la récolte, le don et le partage …

Une oeuvre rare et unique à découvrir absolument !!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus : https://www.instagram.com/nadegedauvergne/

A Boisse Penchot

► Pantonio

sur la cuve à eau (sécurité incendie) de l’entreprise Usicap (usinage mécanique), situé le long de l’axe routier, sur la gauche direction Capdenac : lien Gps : 44.57781242506256, 2.2050148157692

Artiste portugais majeur de la scène Street Art à l’international, Pantonio développe un vocabulaire visuel très personnel et un style graphique fort facilement identifiable. Ses œuvres sont toujours animées de mouvements à la dynamique particulière au gré de flux, de courbes incessantes et colorées.

Né d’une amplitude remarquable, cette fresque de 192m2 vous procurera une émotion paisible et positive, au travers de laquelle vous pourrez identifier et personnifier chacun des oiseaux qui la compose. Il en ressort un travail texturé réalisé au pinceau plat, sur une surface complexe, lisse et remplie de visseries … Graphique !

Maitre mots : énergie, dynamique, mouvement

Cuve en acier inoxydable appartenant à l’entreprise Usicap, peinture réalisée en 7 jours. Intégration parfaite dans un environnement naturel remarquable. Fresque réalisée en partenariat avec l’entreprise Usicap, l’entreprise CDB et la Mairie de Boisse Penchot.

Plus : https://www.instagram.com/pantonio.o/

► Veks Van Hillik

mur du local des joutes en bordure du Lot (à proximité de la salle des fêtes) – Lien Gps : 44.59075081735041, 2.204874058265028

Veks Van Hillik est un artiste connu et reconnu du mouvement « Lowbrow » en France et à l’étranger. Le « lowbrow » est une discipline qui se réapproprie les codes issus des médias populaires tels que le comics, la publicité, le graffiti, le dessin animé et tout ce qui n’est pas considéré comme appartenant au monde des « beaux-arts » classiques. Il a toujours été inspiré par la faune et la flore qui l’entourent ce qui est devenu le sujet principal de son travail. Peintre et artiste de rue, cet artiste surdoué est à juste titre considéré comme un génie de sa discipline. Ses œuvres se caractérisent par une touche surréaliste, qui s’inspire autant des œuvres de l’illustrateur Gustave Doré (du XIXe siècle, Contes de Perrault, Fables de La Fontaine…), que de Caravage, Ingres, Dali ou des textes d’André Breton.

Chaque peinture, ou dessin de Veks Van Hillik semble être une ode à l’imaginaire, une fenêtre secrète sur les rêves et les chimères, dont chaque scène, chaque personnage est un subtil mélange entre candeur et noirceur. « L’ interprétation d’une évolution possible du vivant ».

Ici à Boisse Penchot le mur est devenu une toile texturée de plus de 80m2 travaillé comme en studio aux pinceaux de différents formats. 5 jours ont suffit à l’artiste pour couvrir votre imaginaire d’une histoire qui sera vôtre, celle d’un escargot et d’une grenouille… Vous pourrez remarquer que l’ensemble s’inspire explicitement des peintures primitives flamande qui le touche beaucoup.

A Découvrir absolument !

Plus : https://www.instagram.com/veksvanhillik/?hl=fr

Fòra Man

Le duo Fòra Man « main libre » est composé de Gérard Marty et Joan-Carles Codèrc, deux artistes d’Aveyron.

« Recherche, prospection, regard, rencontre, collectage de matériaux sur le territoire. Auprès des familles, du voisinage, mais aussi dans la géologie, le bâti, l’histoire industrielle, rurale, les formes et typographies vernaculaires. La terre est source de possibilités graphiques, picturales. La poésie surgit des secrets que nous révèlent les lieux.

                 

La matière collectée, vient le temps du mur peint. Les formes se déploient à partir du répertoire visuel constitué avec les enfants de l’école de Boisse Penchot, qu’ils participeront à mettre en couleur sur le mur. Vous voyez, les ferronneries, la lance le plastron et la rame des joutes, la typographies, les courbes, la rivières….

            

La seconde étape constitue le nécessaire à cette réalisation. Une œuvre toute à la fois collective et soumise aux exigences picturales des deux intervenants. L’ensemble est peint, tout est contextuel et pourtant si abstrait ! A cela bien sûr ce rajoute l’écriture et les mots Occitan :

Cara De Boissa – Tèrra Penjada / Tenèm Targa – A Riba D’Òlt : Tête de buis – terre penchée / nous sommes dignes – sur les rives du Lot

Fasèm de Paretalisma ! Nous faisons du Muralisme ! » – Texte écrit par les artistes –

 

Pour en savoir plus sur Joan-Carles Codèrc, rendez vous sur sa page

Pour en savoir plus sur Gérard Marty, rendez vous sur sa page

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