Les artistes intervenus sur le territoire


Alber (en 2019 à Decazeville)

Courbes précises, aplats proprement découpés et personnages caricaturés sont les dénominateurs communs de l’ensemble de son travail. Les regards, ces fenêtres sur un monde intérieur, sur l’intime et le non-dit, sont les éléments centraux dans sa proposition artistique. Ils sont parfois défiance ou affirmation hautaine d’une supériorité sur l’autre, ils sont parfois séduction ou en recherche de reconnaissance.

Pour en savoir plus sur Albert, rendez-vous sur sa page.


Anna Conda (en 2022 à Aubin)

Ses créations racontent des histoires et invitent le spectateur à se plonger dans un monde mystique et poétique, inspiré par les voyages, rencontres et légendes de divers pays. La connexion à la nature, l’intérêt pour l’univers et ses mystères, la sagesse des peuples indigènes d’Amazonie et leur connaissance du monde végétal et animal, la philosophie des Grecs anciens, l’insertion de motifs archaïques et symboles cosmopolites, cet ensemble donne à ses créations un aspect multiculturel, où chacun peut se retrouver, s’identifier.

Pour en savoir plus sur Anna Conda, rendez-vous sur sa page.


Ardif (en 2019 à Decazeville)

Ardif donne vie à des créations, mi-animales, mi-mécaniques au travers de tracés à la précision déconcertante. De ces rouages, il dit lui-même faire ensuite “de la dentelle”, soulignant les mécanismes de ces sujets grâce à la texture des murs. Son travail retient l’attention par les interrogations qu’il laisse en suspend, montrant l’équilibre précaire existant entre l’Homme et la Nature.

Pour en savoir plus sur Ardif, rendez-vous sur sa page.


Astro (en 2019 à Decazeville)

Son travail initial sur le lettrage se transforme en calligraphie ornementale et son goût pour le monumental l’emmène vers des trompes l’oeil abyssaux ! Grâce au tracé spontané et impulsif qui le caractérise, Astro joue avec les perspectives et les lignes de fuite et trompe l’œil du spectateur en déformant la planéité des façades, créant ainsi des illusions d’optique impressionnantes !

Pour en savoir plus sur Astro, rendez-vous sur sa page.


Bault (en 2022 à Aubin)

Unique dans sa démarche, Bault nous emmène dans un monde peuplé de créatures hybrides, bancales, claudicantes et borgnes. Sa représentation de notre environnement est libre de toute figuration précise. Pourtant, le coeur de l’humanité est au centre de l’oeuvre de l’Aveyronnais, faisant de cet artiste hors norme un des maîtres de la discipline.

Pour en savoir plus sur Bault, rendez-vous sur sa page.

 

Bishop Parigo (en 2019 à Decazeville)

Spécialisé dans l’univers contemporain urbain, il évolue dans un monde coloré où le sourire y est roi, et l’insouciance le maître. Il a fait de ses petits oiseaux sa marque de fabrique, incitant les spectateurs à redécouvrir leurs âmes d’enfants. Considéré comme créateur touche à tout, Bishop Parigo affirme son style partout, et sur tout !

Pour en savoir plus sur Bishop Parigo, rendez-vous sur sa page.


Braga Last1 (en 2022 à Aubin)

L’artiste teste le regard de ses spectateurs en créant des œuvres qui varient entre un monde imagé dénué de mots et un environnement imaginaire perméable. Ses thèmes de prédilection reposent notamment sur les contradictions du secteur du divertissement et du marché de l’art. Braga utilise un style proche des bandes dessinée souvent mis en contraste avec des éléments de l’environnement urbain avec de fortes notes de surréalisme et de réalisme en trompe l’œil.

Pour en savoir plus sur Braga Last1, rendez-vous sur sa page.

Bom.K

Il a découvert le graffiti durant sa jeunesse, au même moment où les premiers mouvements de graffeur se développait.  Il est le fondateur du collectif Da Mental Vaporz en 1999, avec les artistes Iso et Kan, Aw, Gris1, Brusk et Dran, et plus récemment, Sowat, Blo et Lek. Un mur après l’autre, il continua à repousser les limites de l’esthétique du graffiti, développant parallèlement des thèmes forts, comme l’exclusion sociale, la peur, l’intériorité… Logiquement, son travail fut remarqué par des galeries de grands noms, autant en Europe qu’aux USA qu’en Asie ou il fut invité à prendre part à des expositions solos prestigieuse. En 2010, son livre intitulé « HB Blacktrace » et ses différents travaux sur mur ou en galerie lui permettent d’acquérir une réputation qui le projette sur le devant de la scène internationale. Il est depuis considéré comme un des noms phare du graffiti, de l’illustration et de l’art contemporain selon les critiques d’art et les galeristes.

 

Doudou’style (en 2019 à Decazeville)

Influencée par le graphisme des bandes dessinés, manga et de tout ce qui l’entoure, Doudou nous propose un univers coloré, voluptueux et poétique.

A la fois, peintre, graffeuse et illustratrice, elle propose un univers coloré et poétique influencé par le graphisme de la bande dessinée et du manga. Artiste aux compétences multiples et à l’énergie débordante, elle propose un large choix de créations : portraits, décorations d’ambiance, trompe l’œil, graffiti, installations, etc…qui souvent mettent en scène son animal favori : le panda.

Pour en savoir plus sur Doudou’style, rendez-vous sur sa page.


Hera (en 2021 à Decazeville)

Diplômée en design graphique, les œuvres d’Hera ont tendance à combiner les techniques traditionnelles et la peinture au pistolet pour représenter des créatures mythologiques et des scènes sombres et satiriques. Ces images pointent souvent vers les notions d’enjeux actuels en matière d’injustice politique et de conscience sociale.

Pour plus d’informations sur Hera, rendez-vous sur sa page.


Hopare (en 2019 à Decazeville)

Hopare est un regard humain, une sensualité géométrique, une féminité urbaine qui n’a pour limites que le relief des murs qui subissent ses coups de bombe. La colorimétrie et ses assemblages n’ont plus le moindre secret, tout comme la finesse et la précision de ses traits. Chaque pièce est une décharge émotionnelle et symétrique, où précision et réalité sont à leur apogée.

Pour en savoir plus sur Hopare, rendez-vous sur sa page


Iljin (en 2019 à Decazeville)

Son style est reconnaissable à sa palette de couleurs bleuâtres et à ses élégantes figures féminines, une combinaison entre l’abstrait et le portrait avec une touche de mélancolie… Son art reste le reflet de ses racines polonaises.

Iljin prépare en amont des pochoirs qui viendront donner vie à ses œuvres sur les murs.

Pour en savoir plus sur Iljin, rendez-vous sur sa page.


 Iwok & Rafat (en 2021 à Cransac-Les-Thermes)

Après plusieurs années à peindre des murs à la bombe, ils peignent du lettrage figuratif de plus en plus inséré dans un univers réaliste. Au fil des voyages et des rencontres, ils ont pu se perfectionner en s’ouvrant à différentes techniques, en utilisant un large choix d’outils et d’influences. Ils se situent à la frontière entre l’artisanat et l’art, ils peignent des objets emblématiques du quotidien, des personnages en situation … des graffitis old school !


Jo Di Bona (en 2019 à Decazeville)

Avec son style “Pop Graffiti”, Jo Di Bona associe les collages, le mélange de couleurs et de mouvements pour créer des visages empreints de poésie, d’émotions et de joie de vivre. Il rend hommage avec la même tendresse aux icônes et grands personnages de l’histoire et aux inconnus de passage, nourri par le regard généreux qu’il porte sur l’humain et le vivant.

Pour en savoir plus sur jo Di Bona, rendez-vous sur sa page.

 


KinMX (en 2019 à Decazeville)

KinMx vient du Mexique et vit maintenant à Dublin, en Irlande.

Elle utilise une gamme de supports tels que des peintures aérosol, des collages de journaux, des marqueurs, des pochoirs, etc. Elle est influencée par ses racines mexicaines, et aborde des problèmes sociaux tels que la pollution, la discrimination, l’injustice. Ses portraits de femmes dynamiques et inspirants sont visibles dans les galeries et les festivals du monde entier.
Pour en savoir plus sur KinMX, rendez-vous sur sa page.


Kouka (en 2019 à Decazeville)

Son premier guerrier Bantu apparaît en 2008. Lors d’un voyage au Gabon, il prend conscience de l’omniprésence d’un impérialisme culturel occidental établi au sein même des espaces culturels, même en Afrique. Dès lors, il décide de revenir aux fondamentaux de cette culture et de perpétuer la tradition et la mémoire d’un art africain auquel il entend restituer toute sa place dans l’espace public.

Pour en savoir plus sur Kouka, rendez-vous sur sa page.


L7 Matrix (en 2021 à Cransac-Les-Thermes)  

Avec son road trip, L7M réalise une collection impressionnante d’oiseaux peints à travers le monde. Même s’il s’aventure vers d’autres styles, les oiseaux restent sa plus grande source d’inspiration. L7M crée des formes géométriques fortes, audacieuses et frappantes. Il combine des éléments géométriques et des énigmes colorées et stylisées avec des détails très réalistes. Il capture à la fois l’élégance et le mouvement gracieux des oiseaux en fusionnant des éléments réalistes et abstraits. C’est précisément le mélange de la simplicité des couleurs et de la géométrie libre qui réveille certaines contradictions et même des sentiments inconfortables pour le spectateur.

Pour en savoir plus sur L7 Matrix, rendez-vous sur sa page.


Lady M (en 2019 à Decazeville)

Elle s’inspire de la notion d’espace, de notre rapport à l’univers, de ces éléments terrestres, aquatiques ou aériens dans lesquels nous évoluons. Elle repositionne l’homme dans un environnement en perpétuel mutation à la recherche d’un horizon, d’un repère justifiant sa présence. Attirée par les mondes parallèles qui nous entourent, elle retranscrit sa vision intérieur comme une sorte de mélodie des ondes, donnant au temps et à l’espace une dimension supplémentaire, une fenêtre sur l’âme.

Pour en savoir plus sur Lady M, rendez-vous sur sa page.


LPVDA (en 2019 à Decazeville et 2023 à Cransac-Les-Thermes)

Crédit photo : Joël Born

Cet autodidacte a troqué ses pinceaux contre une meuleuse, une ponceuse et une petite meuleuse sur tige avec lesquelles il produit de merveilleuses fresques sur bois vieilli (en fait, en meulant, il retire la patine et apporte de la lumière). Il commence par les yeux qui lui servent de repères pour la proportion du dessin, s’adaptant au format et à l’environnement de son support.

Cette nouvelle technique, qu’il a baptisée «street poncing», lui est venu suite à l’achat de son chalet en Suisse et en bricolant le bois.

Pour en savoir plus sur LPVDA, rendez-vous sur leur page.


Monkey Bird Crew (en 2019 à Decazeville)

S’inspirant à la fois des traités de géométrie, de mécanique et d’astronomie, ce duo de street-artistes sont reconnus pour la précision de leur trait et de la découpe, entièrement réalisée à la main. Ils ont l’obsession de réintroduire, sur les murs des villes, une présence animale qui renvoient à nos propres préoccupations humaines : entre désir de liberté et d’élévation (l’Oiseau) et obsessions matérielles (le Singe).

Pour en savoir plus sur Monkey Bird Crew, rendez-vous sur leur page.


MTO (en 2019 à Decazeville)

Si la couleur apparaît progressivement dans son process manuel de reproduction photographique, le noir et blanc reste la base de son expression artistique. L’autre principale caractéristique de son style est l’hyper-réalisme de ses créations. Une œuvre de MTO peut parfois nous faire croire au collage d’une photo géante tant la qualité des détails, des contrastes et des traits est précise et expressive.

Pour en savoir plus sur MTO, rendez-vous sur sa page.


Ratur (en 2021 à Cransac-Les-Thermes)

Le travail figuratif de Ratur interroge sur les relations qu’entretiennent les artistes issus du graffiti et les grands genres picturaux classiques. Ses influences très européennes tournent autour de la peinture classique, du graphisme et du graffiti. Il met en scène des personnages de manière contemporaine, qui semblent vouloir rester anonymes. Malgré son approche réaliste il ne cherche pas à reproduire la réalité et joue avec différents traitements graphiques selon les plans ou la profondeur de champ. « La main », omniprésente dans ses oeuvres, nous permet souvent de situer le contexte et nous indique quelles sont les intentions ou la situation du personnage.

Pour en savoir plus sur Ratur, rendez-vous sur sa page.


Romain Froquet (en 2019 à Decazeville)

Par un travail de la ligne, il compose un langage pictural bien singulier, reflet de son subconscient. Aux confins de l’abstraction et de la figuration, au carrefour du geste et de la ligne, le travail de Romain Froquet mène une bataille surréaliste. Il choisit parfois des zones urbaines obscures pour habiller les murs de ses représentations arboriformes délicates qui confèrent couleur et joie à un décor a priori maussade.

Pour en savoir plus sur Romain Froquet, rendez-vous sur sa page.


Saype (en 2019 à Decazeville)

Né en 1989, Saype vit et travaille actuellement à Moutier (Suisse). Artiste autodidacte, il débute la peinture à l’âge de quatorze ans par le biais du graffiti. Très vite, il travaille entre la rue et son atelier et expose ses premières œuvres en galerie à l’âge de seize ans. Passionné par la philosophie et les questions que l’on pourrait appeler « existentielles », sa peinture explore le plus souvent des problématiques autour de l’être humain. Son travail est pour lui un moyen de partager sa vision du monde et nous invite à nous interroger sur notre nature profonde, notre esprit, notre place sur terre et dans la société.


Seb Toussaint (en 2019 à Decazeville)

Il donne la parole aux habitants des quartiers marginalisés aux quatre coins du monde à la faveur de son projet baptisé Share the Word. Depuis 2013, il investit des bidonvilles ou des camps de réfugiés pour y peindre de grandes fresques murales. Share de Word apporte non seulement de la couleur à ces quartiers mais permet aussi d’attirer l’attention sur des communautés trop souvent oubliées.

Pour en savoir plus sur Seb Toussaint, rendez-vous sur sa page.


Sifat (en 2019 à Decazeville)

Passionnée par les écritures, elle revisite calligraphies, alphabets, motifs, signes ou idéogrammes en s’appropriant leurs formes pour créer son propre langage. Un langage qui invite à la contemplation, à l’évasion et à la découverte quand son travail est précis, construit et chic.

Pour en savoir plus sur Sifat, rendez-vous sur sa page.


Sonia O

La Femme dans son apparente fragilité et sa force intérieure l’inspire.
Retranscrire les émotions, principalement à travers un regard. Y plonger et se laisser transporter par elles pour nous révéler. Parce que les yeux sont le miroir de l’âme…

Pour en savoir plus sur Sonia O, rendez-vous sa page.

Stéphane Opéra (en 2019 à Decazeville)

Passionné d’art, de graphisme et de design, Stéphane Opéra évolue dans le graffiti traditionnel et dans les cultures urbaines depuis plus d’une quinzaine d’années. Il travaille aujourd’hui en tant que directeur artistique freelance sur des projets divers et variés tant dans le webdesign, que le branding et le marketing ou la télévision.

Pour en savoir plus sur Stéphane Opéra, rendez-vous sur sa page.


 

Stoul (en 2019 à Decazeville)

Horizontales, verticales, diagonales.

Stoul, s’est fait connaître dès ses vingt ans pour ses personnages aux visages de chats. Elle a très vite fait évoluer son art et développé son style, quittant progressivement le figuratif pour aller vers une géométrie semi abstraite très personnelle. Elle est aujourd’hui reconnue comme une artiste complète, identifiable au premier coup d’œil.

Pour en savoir plus sur Stoul, rendez-vous sur sa page.


Vinie (en 2019 à Decazeville)

Sa femme signature et une “poupée” noire, au corps élancé et dont les yeux ont des airs de manga Japonais. Celle qui est progressivement devenue sa figure fétiche, est dotée d’une énorme coiffure afro représentée le plus souvent par des “bubble tags” en Vinie. Pin-up des temps moderne, sa créature est un savant mélange d’inspiration hip-hop pour le look et pop pour les couleurs flamboyantes qu’elle arbore. .

Pour en savoir plus sur Vinie, rendez-vous sur sa page.


Wild Drawing (en 2022 à Aubin)

Son style est particulièrement reconnaissable. Il se concentre sur des peintures murales à grande échelle, réalisées essentiellement au rouleau et à la peinture acrylique.

Ses œuvres, principalement des anamorphoses en 3D, sont influencées par les bandes dessinées, les romans graphiques et l’art fantastique. Mais, il s’inspire aussi principalement de phénomènes sociaux, du mode de vie, de l’art ou de la nature. C’est d’ailleurs ce qui frappe directement l’œil quand on se retrouve face à l’une de ses œuvres.

Pour en savoir plus sur Wild Drawing, rendez-vous sur sa page.

 


Les artistes des actions de médiations

AL (en 2019 à Decazeville)

Artiste plasticien, AL crée des personnages en noir et blanc qu’il peint sur différents supports, en France et à l’étranger.  Ses créations représentent des personnages à la fois joueurs, créateurs, taquins, polissons, vandales, mais avant tout humains, permettant de remettre à l’ordre du jour des relations à l’autre de plus en plus troubles dans notre société actuelle. Il cherche à captiver et intéresser un public non averti, et ainsi populariser l’accès aux arts, proposer une problématique à chacun, se questionner sur sa situation actuelle, sa place dans la société, et son rapport à l’autre.

Pour en savoir plus sur Al, rendez-vous sur sa page.


Jokolor (en 2019 à Decazeville)

Notre artiste aveyronnais ! Autodidacte en quelque sorte, il a appris à peindre avec les enfants et la jeunesse. Sa démarche artistique est axée sur le participatif et le collaboratif, son travail se base sur la couleur et le ressenti, la démarche «de faire ensemble» devient aussi importante que le résultat esthétique final des œuvres collectives. L’instantanéité de la création et l’esprit de collaboration dans la réalisation des œuvres favorise naturellement le lien social. Son travail se concentre à ce jour essentiellement sur des réalisations collectives et participatives, des fresques, expositions et projets artistiques en réponse à des commandes de villes, collectivités, structures et personnes diverses en France ou à l’étranger.

Pour en savoir plus sur Jokolor, rendez-vous sur sa page.

Partager cette page sur :